« Le nouveau mode de calcul ajuste les aides en fonction des revenus en temps réel. Si ceux-ci augmentent, les aides baissent. Si les revenus diminuent, les allocations croissent » a annoncé Emmanuelle Wargon.
« Un célibataire qui gagnait 1000 euros mensuels en 2019, puis 1100 euros en 2020, verra ses APL baisser progressivement et sur un an de 77 à 44 euros mensuels. À l’inverse, un salarié qui connaît une période de chômage partiel d’avril à août 2020 verra ses APL augmenter d’environ 30 euros par mois».
Concernant les étudiants, la base de calcul sera basée sur un forfait qui sera « avantageux pour ceux qui travaillent à mi-temps, par exemple ». Une économie d’1 milliards d’euros est estimées par le gouvernement et se distingue de la baisse des 5€ par mois qui avait été décidée au début du mandat d’Emmanuel Macron.